Colloque Nîmes - 17 - 20 septembre 2009
- Los aficionados bilbaínos estaban muy decepcionados con la organización de las Corridas de 1881.
- El Director del Diario bilbaíno "La Unión Vasco Navarra" sugirió la idea de crear una Sociedad Anónima de carácter benéfico, para la construcción de une plaza de toros de mejores condiciones, mayor, y en lugar más adecuado de la que existía entonces.
- El Sr. Lezama presidió una reunión de carácter público, en Setiembre de 1881, en la que se decidió el nombramiento de una Comisión Gestora, para organizar una suscripción pública con el fin de crear una Sociedad Anónima que estudiara el lugar de emplazamiento y la financiación.
- La Plaza de Toros de Vista Alegre se inauguró el 13 de Agosto de 1882.
Je vais soumettre deux questions, à cette table ronde qui, je pense, sont dignes d’intérêt car elles concernent les organisateurs de spectacle et plus particulièrement leur gestion.
(à propos de l'opportunité d'une nouvelle loi relative à la licéité de la corrida)
La pratique des courses de taureaux en France a toujours suscité des réactions contrastées du droit, entre tolérance et interdiction, qu'il s'agisse des premiers spectacles tauromachiques au Moyen-Age ou de la corrida dans la forme actuelle qu'elle connaît, grosso modo, depuis 1860, issue de « l'invention de la tauromachie moderne » en Espagne au siècle précédent, selon la formule de Bartolomé Bennassar.
Monsieur le Président,
Permettez-moi, avant d’aborder le thème qui m’est imparti, de remercier très chaleureusement les organisateurs de leur invitation : pour un Professeur de droit aficionado,
Chacun sait que les juristes sont de grands malades. Ils sont malades des classifications, des distinctions, des définitions.
Les Etats-Unis d’Amérique constitueraient-ils la première puissance mondiale dans le domaine de la tauromachie ? La proposition iconoclaste n’a rien d’absurde une fois admis comme une évidence que le rodéo, l’un des sports majeurs en Amérique du Nord,
Du statut moral des animaux au régime juridique de la corrida en France
On affirme parfois — c’est le cas notamment des militants animalistes ou antitaurins — que la corrida bénéficie, dans le Droit français d’un régime d’exception — et ce pour deux raisons.
Employé au pluriel, on définit traditionnellement le mot « arènes », du latin arena – sable - les anciens amphithéâtres romains, où se déroulent des courses de taureaux et des corridas.
Le contentieux inhérent aux modes d'exploitation des arènes en France intéresse l'ensemble des actes et éléments intervenant dans l'organisation et le déroulement des spectacles taurins.
Trois leçons d'un tour d'horizon international
Reconnaissons-le tout de suite : la situation réglementaire taurine française est mauvaise. Un Règlement Taurin Municipal (RTM), certes, a été adopté par l'Union des Villes Taurines de France, l'U.V.T.F., en 1973 (1). Un règlement qui fait l'unanimité dans la pratique de toutes les arènes de France.
Il m'appartient, dans le cadre de ce colloque, de traiter des retombées économiques de la corrida.
Traiter des retombées économiques de la corrida est un exercice qui soulève des problèmes méthodologiques importants. On mesure bien quel est l'enjeu : il est d'identifier l'effet de chaîne que provoque l'organisation des spectacles taurins sur tout un ensemble d'acteurs économiques qui en bénéficient, et ils sont évidemment nombreux.
Mesdames et Messieurs,
Il eût été regrettable qu'il n'ait pas été réservé à la Course Camarguaise une place, si petite soit-elle,dans un colloque consacré au droit taurin.
Gérard CHRISTOL, ancien Bâtonnier du Barreau de Montpellier
Ancien Président de la Conférence des Bâtonniers
Grand aficionado et ami du Barreau de Nîmes
La définition du toro de combat
Donner une définition d’une chose ou du contenu d’un concept consiste à déterminer l’essence même de ce que l’on doit définir en énumérant les caractères propres qui permettent d’éclairer tout un chacun sur la proposition qui est faite.
Bonjour. J'ai l'honneur, après les différentes interventions, de clôturer brièvement cette séance.
Au préalable, je voudrais féliciter l'ordre des avocats de Nîmes pour leur initiative d'organiser ces rencontres internationales du droit taurin.
« Le toro et son combat : la part ou l’apport du droit ? »
Synthèse
Jean-Pierre Ancel
Président honoraire de la première chambre civile de la Cour de cassation
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